Conclusion essai Mercedes EQA 250 AMG Line

CONCLUSION :

Poussé dans le dos par de nouveaux acteurs en constante expansion, le nouveau Mercedes EQA est une belle entrée en la matière dans la famille EQ.
Avec ce son nouveau EQA, Mercedes nous invite à changer de carburant, mais sans remise en cause de la voiture et du plaisir de conduite à son volant.

Voilà un véhicule des plus désirable avec son allure chic et sa finition des plus soignée, l’EQA est incontestablement un « must-have » dans le clan des véhicules électriques.

Pour le reste, pas de mauvaise surprise : l’EQA se montre très appréciable au quotidien. Ajoutez à cela, que le SUV électrique profite d’un compromis tenue de route/confort de haut niveau et vous en aurez tracé un portrait assez fidèle.

 

Ce que nous avons aimé :

  • Compromis tenue de route/confort de premier ordre
  • Un système de freinage en net progrès pour un V.E
  • Présentation intérieure & qualité de finition
  • Performances cohérentes
  • Position de conduite agréable
  • Modulation et informations de charge max à partir de l’ODB

Ce que nous avons moins aimé :

  • Motricité perfectible
  • Autonomie encore trop restreinte

 

Fiche Technique

Mercedes EQA 250 – AMG Line

Moteur
Type de motorisation 100 % Electrique
Puissance nominale maxi
190 ch
Couple moteur 375 Nm
Puissance fiscale 6 CV
Autonomie 426 km/494 km (en ville)
Performances
Vitesse maxi 219 km/h
0 à 100 km/h 7,3 s
1000 m D.A NC
Consommation et rejets de CO2
Consommation mixte 17,7 – 19,0 kWh/100 km (WLTP)
Consommation urbaine 15,2 – 16,1 kWh/100 km (WLTP)
Consommation extra-urbaine NC
Taux de CO2 0 g/km
Bonus écologique (France) 2021 3 000 €
Dimensions, mesures
Longueur 4,463 m
Largeur 1,834 m
Hauteur 1,620 m
Empattement  2,729 m
Capacité de la batterie
66,5 kWh
Capacité du coffre de 340 à 1 320 dm3
Poids à vide 2 040 kg
Prix
Prix d’entrée de gamme à partir de 48 600 €
Prix du modèle essayé 60 350 € (options comprises)

A propos de l'auteur

Olivier Sibani

Subjugé pas les Ferrari 308 et autres R5 Turbo 2 dès mon plus jeune âge. C’est au volant du coupé SL de tonton Didier que j’ai effectué mes premiers tours de roues. Depuis, l'automobile me parait comme une évidence avec plusieurs centaines d’essais autos à mon actif.

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