Le remplacement du C-Max est important pour Ford, étant donné le succès rencontré par la première génération, notamment en France. Voici le premier essai du nouveau C-Max, qui profite ici d’une nouvelle motorisation turbo essence 1.6 de 150 ch baptisée Ecoboost.
Design
Pour le renouvellement du C-Max, les designers Ford sont partis des bases du Kinetic Design en vigueur pour les nouveaux modèles depuis le S-Max en 2005. Ce n’est donc pas étonnant si de dos et de trois quarts arrière, le C-Max 2 fait fortement penser au S-Max.
Adieu aux optiques arrière verticales de la première génération, la marque reprend un dessin plus classique horizontal. Il faut dire qu’en plus de remplacer un best-seller, ce C-Max fait partie de la stratégie One Ford : il sera donc commercialisé dans le monde entier ! Un défi pour les designers, car il n’est pas facile de séduire les acheteurs de tous les continents.
Si le design est consensuel, la face avant et le profil sont nettement plus dynamiques que ceux de la précédente génération. La ligne de toit plongeante à l’arrière et le pli de caisse au niveau des poignées de portes ne font pas regretter les traits plus cubiques du premier C-Max.
Essai Ford C-Max
Vie à bord
L’intérieur du nouveau C-Max est très plaisant, avec une planche de bord bien dessinée et agréable à l’oeil. Les passagers avant se sentent dans un cocon, à l’instar d’un Peugeot 5008. La qualité d’assemblage est d’un bon niveau. Pour les matériaux, les plastiques inférieurs de couleur grise restent en retrait de ceux employés chez Volkswagen par exemple.
Multifonctions, le volant en cuir est très agréable pour sa prise en main. Le combiné de compteurs respire la modernité avec des aiguilles bleutées originales, et un bel écran couleur pour l’ordinateur de bord. L’éclairage bleuté est repris sur les petits écrans LCD du panneau de climatisation.
La façade du système radio-GPS a été étudiée avec Sony, et se révèle pratique d’utilisation et bien présentée, avec une grosse molette centrale.
L’écran du GPS est un peu petit avec 5″ en diagonale, mais il est livré de série : un très bon point. D’autant qu’il comprend le kit téléphone mains libres bluetooth, commandé au volant et très facile pour la partie jumelage.
Essai Ford C-Max
A l’instar du Kuga, l’équipement optionnel vaste propose notamment une très pratique caméra de recul, un système de démarrage sans clé, un système de détection des angles morts, et le hayon électrique.
Avec 4,38 m, la longueur habitable est inférieure de 14 cm à celle du Grand C-Max, et à 38 cm à celle du S-Max. L’espace dévolu aux passagers arrière est tout à fait honorable. Les côtes sont logiquement en retrait de celles du Grand C-Max. La longueur aux jambes pour la seconde rangée est de 916 mm contre 864 à 966 mm pour le Grand C-Max. La largeur aux épaules du second rang est de 1402 mm contre 1427 mm.
Essai Ford C-Max
Quant au coffre, il est d’un volume suffisant de 471 litres avec kit anti-crevaison. Cela reste tout de même en retrait du volume de 500 litres proposé par un C4 Picasso.
En configuration deux places, le volume utile peut grimper jusqu’à 1723 litres avec un chargement jusqu’au toit. Point négatif : le seuil du coffre est supérieur à celui du C4 Picasso ou du Scenic et présente un rebord qui ne sera pas pratique pour charger des objets lourds.
Essai Ford C-Max
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