En octobre 2022, Renault nous présentait le concept 4EVER Trophy : un revival électrique de la Renault 4. Bien accueilli par le public, ce concept préfigurait le retour de cette icône, sous une forme totalement différente de l’originale. Il ne sera plus question d’une berline populaire, mais d’un crossover électrique. On fait le point sur ce futur modèle très attendu, qui devrait débarquer en 2025.
La déclinaison crossover de la Renault 5 électrique
L’année prochaine, Renault lancera la remplaçante de la ZOE : la nouvelle Renault 5 électrique. Ce modèle partagera sa plate-forme inédite et ses motorisations électriques et batteries avec la future Renault 4. Une méthode indispensable pour réduire les coûts de production, d’autant plus que les deux modèles partageront les mêmes chaines d’assemblage.
Cette nouvelle plateforme CMF-B EV reprend d’ailleurs 70 % des composants de la plate-forme des Captur et Clio, pour parvenir là encore à réduire les coûts.
Dans l’immédiat Renault n’a pas communiqué les valeurs de capacité des batteries. Les niveaux d’autonomie devraient se chiffrer entre 300 et 400 km, avec deux packs de batterie différents ( entre 40 et 50 kWh environ ). Au niveau des motorisations, la nouvelle motorisation électrique e-PT 100 sera proposée en deux niveaux de puissance qui devraient se situer à 125 et 150 ch selon les informations disponibles actuellement.
A l’intérieur, l’aménagement de la Renault 4 devrait là encore reprendre la même planche de bord que la Renault 5. L’habitacle devrait se démarquer par sa hauteur supplémentaire, et son coffre plus spacieux avec un seuil de chargement abaissé.
Extérieurement, les deux modèles seront très différents. Le crossover Renault 4 sera plus long, avec une longueur comprise entre 4,16 et 4,20 m, proche d’un DS 3 E-Tense. Son design sera totalement inédit, avec des pièces de carrosserie distinctes.
Pour résumer, ce petit crossover électrique jouera sur la nostalgie pour séduire la clientèle. Son format de crossover urbain devrait convaincre, tout comme sa modularité. Visiblement les performances ne devraient pas être très élevées, mais suffisantes pour un usage quotidien. Les niveaux d’autonomie ne devraient pas non plus marquer les annales. En revanche c’est sur le prix que ce modèle est attendu : logiquement les tarifs devraient être compétitifs, de l’ordre de 30.000 euros pour le premier prix. Actuellement la concurrence ( européenne ) est plutôt à 35000 euros, comme par exemple la nouvelle Fiat 600e.
Pourquoi continuer à positionner les rétroviseurs poser comme ça à l'arrache sur les portières ? C'est disgracieux et ça casse…
c'est nul l'actuelle est mieux à part le puissance de charge
"systèmes AdBlue : comment éviter les problèmes" circuler avec une auto qui carbure à l'essence
la police municipale de Meurthe et Moselle n'a aucune morale pour acheter des modèles chinois, fabriqué par un pays ou…
un 3 portes n'a aucun intérêt par contre peut être un cabriolet